06/10/2011

PRESENTATION



“Ce que nous ne pouvons découvrir à travers notre corps, nous ne pourrons le découvrir dans aucun lieu au monde.” Idris Lahore

 



Le Samadeva Chorégraphique est la dimension artistique de l’Euphonie Gestuelle ou Yoga de Samara, il né des spectacles de danses et mouvements sacrés créés au début des années 2000 par Idris Lahore. Ils nous content l’histoire du Samadeva, de la Reine de Saba, des confréries derviches qui, depuis la nuit des temps,  transmettent leur savoir et leur savoir-être. Ils nous plongent dans un voyage vers le sens que chacun donne à sa vie, la quête vers son âme, son esprit. 

" Son but est de faire découvrir une autre dimension de la danse basée 
sur l’art chorégraphique du Samadeva qui réunissent dans une même pratique 
la création artistique et la dimension spirituelle "

Il associe d’une part un travail artistique et chorégraphique (par la danse et le rythme) et d’autre part une coordination motrice structurante. Au-delà des aspects chorégraphiques et techniques, il a des effets positifs sur tout l’organisme (tonus musculaire, système circulatoire...) et développe la concentration et la mémoire. Il permet de se libérer du stress pour retrouver joie de vivre et de danser. Au-delà encore, il permet de suivre ce chemin de connaissance de soi, de développement intérieur.




Cet enseignement propose la pratique de séance-type, d’ateliers ou de stages, qui conduisent le participant à une véritable rencontre avec cette sagesse et ces traditions, une rencontre avec le sacré, avec l’âme de la danseuse Samadeva.





L’objectif de ces danses est de les apprendre, les comprendre et les pratiquer comme une réponse à nos difficultés, nos souffrances, qu’elles soient physiques, émotionnelles, psychologiques en chemin vers la libération de l’être.


La danseuse Samadeva au cœur de la méthode

D’après la légende du Samadeva, l’âme humaine est naturellement belle et joyeuse, mais elle est comme emprisonnée dans le corps physique, ses limitations et ses maladies, prisonnière aussi des émotions conflictuelles et négatives. Les danses et mouvements du « Samadeva » la libère. La pensée devient claire, les émotions positives, et le corps retrouve sa jeunesse et sa santé.



Telle est l’histoire de la danseuse Samadeva, reconnue comme la déesse de la danse par les derviches errants, les derviches Malamati de l’Inde du Sud, confrérie à laquelle appartenait Shamz de Tabriz le maitre initiateur de Rumi qui lui enseigna le Sama et lui montra le chemin de l’amour mystique.  Les danseurs mystiques racontent qu’en tournoyant et en pratiquant ces danses, le danseur ou la danseuse s’unit à l’âme de la danse ou à la déesse de la danse, Samadeva.