“Ce que nous ne pouvons découvrir à travers notre corps, nous ne pourrons le découvrir dans aucun lieu au monde.” Idris Lahore
Le Samadeva Chorégraphique est la dimension artistique de l’Euphonie Gestuelle ou Yoga de
Samara, il né des spectacles de danses et mouvements sacrés créés au début des
années 2000 par Idris Lahore. Ils nous content l’histoire du Samadeva, de la
Reine de Saba, des confréries derviches qui, depuis la nuit des temps, transmettent leur savoir et leur savoir-être.
Ils nous plongent dans un voyage vers le sens que chacun donne à sa vie, la
quête vers son âme, son esprit.
" Son but est de faire découvrir une autre dimension de la danse basée
sur l’art chorégraphique du Samadeva qui réunissent dans une même pratique
la création artistique et la dimension spirituelle "
sur l’art chorégraphique du Samadeva qui réunissent dans une même pratique
la création artistique et la dimension spirituelle "
Il associe d’une part un travail artistique et
chorégraphique (par la danse et le rythme) et d’autre part une coordination
motrice structurante. Au-delà des aspects chorégraphiques et techniques, il a des
effets positifs sur tout l’organisme (tonus musculaire, système
circulatoire...) et développe la concentration et la mémoire. Il permet de se
libérer du stress pour retrouver joie de vivre et de danser. Au-delà encore, il
permet de suivre ce chemin de connaissance de soi, de développement intérieur.
Cet enseignement
propose la pratique de séance-type, d’ateliers ou de stages, qui conduisent le
participant à une véritable rencontre avec cette sagesse et ces traditions, une
rencontre avec le sacré, avec l’âme de la danseuse Samadeva.
L’objectif
de ces danses est de les apprendre, les comprendre et les pratiquer comme une
réponse à nos difficultés, nos souffrances, qu’elles soient physiques,
émotionnelles, psychologiques en chemin vers la libération de l’être.
La danseuse
Samadeva au cœur de la méthode
D’après la légende du Samadeva, l’âme humaine est naturellement
belle et joyeuse, mais elle est comme emprisonnée dans le corps physique, ses
limitations et ses maladies, prisonnière aussi des émotions conflictuelles et
négatives. Les danses et mouvements du « Samadeva » la libère. La
pensée devient claire, les émotions positives, et le corps retrouve sa jeunesse
et sa santé.
Telle est l’histoire de la danseuse Samadeva, reconnue comme
la déesse de la danse par les derviches errants, les derviches Malamati de
l’Inde du Sud, confrérie à laquelle appartenait Shamz de Tabriz le maitre
initiateur de Rumi qui lui enseigna le Sama et lui montra le chemin de l’amour
mystique. Les danseurs mystiques
racontent qu’en tournoyant et en pratiquant ces danses, le danseur ou la danseuse
s’unit à l’âme de la danse ou à la déesse de la danse, Samadeva.